Entre double jeu et processus de recolonisation, un collectif d’universitaires analyse les points de vue portés dans ce pays fracturé sur l’impact de l’inervention francaise
Le Monde

West-Afrika: Het lukt Burkina Faso, lang een van de stabielste landen van West-Afrika, niet meer de extremisten buiten de deur te houden.

Mali is de spil van radicalisering in de westelijke Sahel. Hamadoun Koufa is de geestelijk leider en commandant van de jihadistische milities, die …

Atelier sur les projets de recherche “les enjeux communautaires dans la crise sécuritaire au centre du Mali. Il s’agit d’un atelier de partage axé sur la connaissance avec les artistes, activistes et journalistes. organisé par odyssée, cet atelier a été un cadre pour les participants d’échanger sur l’insécurité, la montée en puissance des conflits communautaires, la crise alimentaire provoquée par les conflits. Constat : les participants pensent que la plus part des conflits dépendent des nouvelles mobilisations parmi les éleveurs nomades.

The UN is warning of a deteriorating humanitarian crisis for Burkina Faso’s 20 million people.

Tribune : Parler de problème d’intégration des Peulhs dans le Mogho est une erreur
Avant-propos : Avec cet essai, je vais recevoir les foudres de quelques extrémistes, tribalistes, ethnicisés et communautaristes… Cela ne m’arrêtera pas. Je travaillerai avec tous ceux qui veulent donner une chance à notre projet national.

Sur toute la bande sahélienne et au-delà, vit un des plus grand peuple autochtone de pasteurs nomades du continent. On les appelle les Foulani, les Peuls. Leurs grands parcours de transhumances, qui peuvent s’étendre sur plusieurs milliers de kilomètres à travers l’Afrique de l’Ouest et l’Afrique centrale, sont entièrement tributaires de leur environnement. Mais depuis quelques dizaines d’années, la violence des changements climatiques et ses multiples conséquences ont bouleversé ces écosystèmes fragiles, condamnant les animaux et les hommes à survivre dans un environnement de plus en plus hostile. A l’heure où se joue l’avenir de la planète à la COP24 en Pologne, rencontre avec les Peuls M’Bororo du Tchad, l’un des pays d’Afrique les plus touchés par les changements climatiques.

« Dans le centre du Mali: les populations prises au piège du terrorisme et du contre-terrorisme » a fait effet sur le gouvernement malien. Dès le lancement de ce rapport par l’AMDH et la FIDH le 21 novembre dernier, le gouvernement, à travers son porte-parole, Amadou Koïta, a produit un démenti à travers un communiqué de presse. Ce vendredi 23 novembre 2018, les deux organisations ont produit un droit de réponse aux accusations du gouvernement.

Sur toute la bande sahélienne et au-delà, vit un des plus grand peuple autochtone de pasteurs nomades du continent. On les appelle les Foulani, les Peuls. Leurs grands parcours de transhumances, qui peuvent s’étendre sur plusieurs milliers de kilomètres à travers l’Afrique de l’Ouest et l’Afrique centrale, sont entièrement tributaires de leur environnement. Mais depuis quelques dizaines d’années, la violence des changements climatiques et ses multiples conséquences ont bouleversé ces écosystèmes fragiles, condamnant les animaux et les hommes à survivre dans un environnement de plus en plus hostile. A l’heure où se joue l’avenir de la planète à la COP24 en Pologne, rencontre avec les Peuls M’Bororo du Tchad, l’un des pays d’Afrique les plus touchés par les changements climatiques.

Au centre du Mali, Peul n’est pas égal à djihadiste
Les événements survenus à Nantaka et Kobaka, le 13 juin dernier, au cours desquels une unité de l’armée malienne a arrêté plusieurs présumés djihadistes avant de libérer ceux qui n’étaient pas Peuls, illustrent parfaitement un état d’esprit ambiant au centre du Mali où l’amalgame fait qu’un Peul est considéré comme un potentiel djihadiste. Pourtant, écrit le blogueur Aliou Diallokei, un djihadiste est un djihadiste tout court : ce n’est pas une question d’ethnie.

Early warnings of conflict in central Mali went largely unheeded. The message from peacekeepers is clear: Act now before it is too late.

À quelques semaines de l’élection présidentielle, l’échec de la militarisation du pays est patent. L’incapacité de l’État à exercer sa souveraineté, notamment dans les régions de Ménaka et de Mopti, à la frontière du Niger, laisse en germe des guerres civiles locales, et fait craindre les scénarios du pire.